Retrouver un mieux-être par une meilleure connaissance de soi.

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Se connaître, se comprendre et s’accepter positivement entraîne un sentiment d’unité qui est la clef du bienêtre. Malheureusement, nous nous connaissons mal car nous ignorons une partie importante de nous-même qui échappe à la conscience.

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Nous ne comprenons pas toujours ce qui nous arrive. Pourquoi souffrons-nous alors que, souvent, une voix intérieure nous répète que « nous avons tout pour être heureux », ce qui entraine, en plus, de la culpabilité qui ne fait qu’accentuer notre souffrance.

Nous sommes entourés par nos amis et notre famille, nous sommes en bonne santé, nous avons un travail qui parfois nous plait mais … rien n’y fait.

 

Que se passe-t-il ?

 

Le psychisme humain n’est pas unitaire. Nous sommes la proie de conflits internes, c’est-à-dire que certains aspects de notre personnalité (souvent inconscients) sont en opposition les uns avec les autres : désirs contradictoires, culpabilité (jugements négatifs sur nous-même). Cela entraîne des blocages, une insatisfaction quasi permanente (nous ne vivons pas la vie que nous aurions souhaité vivre), un sentiment de culpabilité chronique et une impossibilité d’accéder à des états heureux.

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Ces blocages sont de nature psychique mais se retrouvent également dans le corps où ils se manifestent de différentes façons : raideur musculaire, troubles fonctionnels variés.

Pour aller mieux, il est nécessaire de mettre à jour ces conflits afin de pouvoir les dépasser.

 

Une approche multiréférentielle pour mieux répondre aux demandes et aux besoins de chacun 

• L’approche psychanalytique permet à la personne de comprendre les conditionnements issus de son passé et de se libérer des conflits internes non résolus de son histoire personnelle qui, de manière répétitive, font obstacle dans sa vie.

• Les méthodes de la psychologie humaniste permettent d’ explorer les aspects corporels et émotionnels.

Ces approches (Bioénergie, Gestalt-thérapie, psychodrame …), qui ont vu le jour dans les années 70 aux USA ont introduit dans la psychothérapie la dimension corporelle et émotionnelle. En développant une meilleure conscience du corps, en permettant de contacter et d’exprimer des émotions refoulées et, ainsi, de s’en libérer, elles favorisent le changement et l’intégration de la compréhension analytique.

• Les outils des thérapies comportementales et cognitives sont aussi utilisés pour permettre d’expérimenter des comportements nouveaux et favoriser un changement rapide.

• Le travail en groupe : pouvoir être soi-même sans crainte d’être rejeté aide à s’accepter et à développer la confiance en soi. Dans un cadre protégé et sécurisant, il permet d’explorer en temps réel les différents aspects de sa relation aux autres (peur, agressivité, désir de plaire, timidité, inhibition…)En pratique